Opérée au niveau de l’abdomen en janvier dernier, Kate Middleton ne devrait pas reprendre ses fonctions avant Pâques. À l’occasion de la Fête des Mères au Royaume-Uni, le 10 mars 2024, la princesse de Galles a, comme à son habitude, partagé un portrait de famille sur ses réseaux sociaux. Depuis, la mère de George, Charlotte et Louis se retrouve au cœur d’une polémique. Et pour cause, le cliché a été "trafiqué".

Parmi les erreurs détectées par les agences de presse internationales, figurait la main de l’épouse du prince William sans sa bague de fiançailles. Depuis, les rumeurs de rupture ont pris de l’ampleur et le nom de Rose Hanbury a refait surface. Issue d’une famille aristocratique, la marquise de Cholmondeley a autrefois été proche des Cambridge. Selon les informations rapportées par les tabloïds anglais, elle aurait été écartée de la Firme après que les rumeurs d’adultère ont fait grand bruit.

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Prince William @ DR

Rose Hanbury, mère de trois enfants

L’absence prolongée de Kate Middleton, après son opération, suscite l’inquiétude dans les rangs des fans de monarchie britannique. Le scandale de la photo retouchée de la duchesse de Cornouailles n’a fait qu’envenimer la situation. En effet, les rumeurs de divorce avec le fils aîné du roi Charles III ont été relancées.  

De ce fait, la supposée liaison entre Rose Hanbury et le prince William déchaîne les passions de la presse britannique. Mariée au marquis de Cholmondeley, David Rocksavage (63 ans), l’ex-mannequin de 40 ans est la mère de trois enfants : les jumeaux Alexander et Olivier (2009), ainsi que d’une fille prénommée Iris (2016).

Le prince William garde le silence

Selon les informations relayées, le couple de marquis vit à quelques kilomètres des Cambridge dans le Norfolk. Ainsi, ils sont devenus proches. Rose Hanbury a toutefois tenu à mettre les choses au clair, par l’intermédiaire de ses avocats. Ces derniers ont ainsi fait savoir que les rumeurs de liaison avec le mari de Kate Middleton "sont complètement fausses", comme le rapporte le site américain Page Six.

De son côté, le futur roi d’Angleterre préfère appliquer la devise de la reine Elizabeth II : "Never complain, never explain" ("Ne jamais se plaindre, ne jamais se justifier").