Dans le livre de témoi­gnages A la vie à la mort de Cathe­rine Ceylac, paru ce 14 mars, Carla Bruni a été amenée à s'interroger sur son rapport à la disparition d'un être cher. Maman de deux enfants, Aurélien, 16 ans, fruit de ses amours avec le philosophe Raphaël Enthoven, et Giulia, 6 ans, née de son union avec Nicolas Sarkozy, l'ex-Première dame a bien évidemment pensé à eux. Il faut dire qu'ils sont sa source d'inspiration.

Et si elle se dit opposée à la peine de mort, elle serait prête à faire une exception !

Qu'on ne touche pas à un cheveu de ses enfants où Carla Bruni tue

En effet, face à Catherine Ceylac, présentatrice de Thé ou Café, Carla Bruni a confié :

Évidemment qu'on voudrait voir mourir les assas­sins d'enfants. Mais enfin on ne peut pas… Non, on ne peut pas. On fait des erreurs, c'est affreux, on ne peut pas donner aux hommes ce tribu­nal-là. Après si on touche à un cheveu de mes gosses, je le tue moi-même. Là, je suis favo­rable.

En novembre 2017, toujours face à Catherine Ceylac, elle évoquait la mort de son propre frère, Virginio, disparu en 2006.

Il y a un avant et un après la mort.

Et pour Paris Match, elle dévoilait sa blessure profonde.

Sa mort a symbo­­lisé la fin de l'enfance, à tout jamais. Même si, à 38 ans, il était temps de se sépa­­rer de cette enfance. Il était une part impor­­tante de mes jeunes années.

Mieux vaut ne pas s'en prendre à sa famille où alors, vous aurez affaire à elle...