Julio Iglesias a connu une mésaventure rocambolesque à son arrivée à Punta Cana, le 10 janvier dernier. Selon Le Parisien, le chanteur de 80 ans, revenu des Bahamas, a été arrêté à cause du contenu de ses valises. Et vous n’allez pas en croire vos yeux !

Le père d’Enrique Iglesias avait en effet emporté avec lui pas moins de 42 kilos de nourriture ! Oui, vous avez bien lu ! Betteraves, céleri, cerises, champignons, épinards, fraises, framboises, haricots, laitue, myrtilles, roquette, tomates, viande, légumes… Le chanteur avait de quoi faire un festin pour toute sa famille ! 

Une arrivée mouvementée à Punta Cana !

Les valises du chanteur ont été contrôlées par les techniciens du service d’inspection de la quarantaine végétale (AIPC). Ces derniers ont pour mission de veiller à ce qu’aucun produit interdit ne franchisse la frontière. 

Julio Iglesias a dû ouvrir ses bagages et leur montrer le contenu afin de s’assurer qu’il ne transportait aucun produit d’origine animale ou végétale susceptible de nuire à l’agriculture locale. Le ministre dominicain de l’Agriculture, Limbert Cruz, a tenu à mettre les choses au clair :

Ce n’est pas par rapport à lui ou à quelqu’un en particulier, c’est le cas pour tout le monde.

Julio Iglesias : une folle passion qui lui vaut des ennuis !

Heureusement pour lui, il a pu s’en sortir avec une simple confiscation de ses produits. Mais pourquoi donc le père d’Enrique Iglesias se balade-t-il avec autant de victuailles ?

Selon une source proche du chanteur, il s’agit d’une vieille habitude qu’il a prise depuis qu’il vit entre les Bahamas et la République dominicaine. Parmi ses péchés mignons, on trouve les fruits de mer de Galice ou encore le jambon. Makoke, son ex-compagne et star de la télévision espagnole, a confié qu’elle lui apportait parfois ces délices. Mais cette fois-ci, Julio Iglesias a été trop gourmand. 

Selon le journal dominicain Listin Diario, les autorités ont saisi plusieurs kilos de nourriture pour éviter la propagation de parasites qui pourraient nuire aux cultures locales. Un risque sanitaire que le chanteur n’avait pas anticipé. 

Quoi qu’il en soit, Carlos Herrera, un ami du chanteur, a déclaré que toute cette histoire a été “amplifiée”. Apparemment, le chanteur n’a subi qu’un simple contrôle.

Le chanteur octogénaire, qui n’a pas réagi publiquement à cette affaire, devra désormais faire preuve de plus de prudence lors de ses voyages. Ou alors, il devra se contenter de la cuisine locale, qui n’a rien à envier à celle de son pays. Après tout, comme dit le proverbe, “ventre affamé n’a pas d’oreilles” !