En janvier dernier, de nombreuses personnalités sont montées sur la scène du Zénith de Stras­bourg pour enregistrer le nouveau spectacle des Enfoirés. Diffusé ce vendredi 9 mars sur TF1, le show promet toujours des tableaux exceptionnels ! Mais, il y a quelques semaines, certains artistes faisaient état d'un malaise grandissant au sein de la troupe... La raison ? Le départ de Jean-Jacques Goldman qui a entraîné une désorganisation totale.

En fait les choses ont été reprises par un clan où chacun décide entre eux et nous sommes plusieurs à nous sentir exclus.

Expliquait en off l'un des grands absents de cette année tandis qu'une autre artiste glissait :

J’y suis allée, mais franchement ce sont des petits arrangements entre amis et personne n’a vraiment l’autorité nécessaire pour imposer ses choix. A l’époque avec Jean-Jacques ce sont tous les gens qui avaient cartonnés l’année précédente qui étaient sur scène. Là, c’est fini, c’est juste une réunion entre amis.

"Le boss c'est Bruel"

Interrogé dans les colonnes du Parisien, Michaël Youn a tenu un tout autre discours.

On ne remplace pas Jean-Jacques Gold­man, mais aujourd’­hui le boss c’est Bruel. C’est la statue du comman­deur. Il n’a pas cher­ché à l’être, il l’est devenu natu­rel­le­ment.

Raconte celui qui s'implique aussi beaucoup dans le spectacle des Enfoirés depuis quelques années.

Patrick Bruel, le nouvel organisateur, est légitime puisqu'il est « l'un des plus anciens ».

On lui pose beau­coup de ques­tions et on écoute ses réponses.

Explique enfin Michaël Youn.

Seulement, il se pourrait que Jean-Jacques Goldman revienne. Selon Mimie Mathy, interviewée sur Europe 1 :

Il a le droit de faire une pause. Je pense qu’il reviendra un jour. Il se repose deux ans. J’espère qu’il sera là bientôt.

Peut-être pour les 30 ans de la tournée des Enfoirés, en 2019 ?