En pleine promotion de son livre, Devenir, Michelle Obama a fait un passage à Londres. L’occasion pour l’ancienne First Lady de rencontre Meghan Markle.

Un rendez-vous privé

Ainsi, interrogée par le magazine Good Housekeeping, Michelle Obama a révélé s’être entretenue lors d'un rendez-vous privé avec la duchesse de Sussex. Cette rencontre a eu lieu en marge d’une conférence organisée au Royal Festival Hall.

Au cours de cet entretien, Michelle Obama a livré de précieux conseils à Meghan Markle, dont la réputation est mise à mal depuis plusieurs mois. En effet, dans Good Housekeeping, l'ancienne First Lady a établi un parallèle entre elles deux :

Comme moi, Meghan n'avait probablement jamais rêvé qu'elle aurait une vie pareille. Et la pression que l'on ressent, de la part de nous-même ou des autres, peut vraiment être lourde. Donc mon plus gros conseil serait de lui dire de prendre le temps et de ne pas se presser pour faire quoi que ce soit.

A-t-elle déclaré.

Il y a tellement d'opportunités pour faire le bien d'une position pareille. Je pense que Meghan peut utiliser son impact pour les autres mais aussi pour son bonheur personnel, si elle fait quelque chose qui lui tient personnellement à cœur.

Mais rien ne va plus pour Meghan Markle. Malgré l’annonce de sa grossesse, la duchesse de Sussex fait l’objet de témoignages accablants dans la presse britannique. Souvent décrite comme « ingérable » et « capricieuse », elle se serait mis à dos une bonne partie du personnel de la famille royale. Mais aussi de Kate Middleton.

Récemment, Meghan Markle n’aurait pas hésité critiquer sa belle-sœur sur sa façon d’éduquer ses trois enfants, George, Charlotte et Louis. De quoi relancer les rumeurs de tensions entre les deux jeunes femmes.

Ainsi, si son image est plus écornée que jamais, Meghan Markle peut compter sur le soutien de Michelle Obama. Et, l’épouse de l’ancien président américain parle en connaissance de cause. En effet, lors de son arrivée à la Maison Blanche, l’ancienne First lady a elle aussi connu des jours difficiles.

J’ai passé mes premiers mois au palais présidentiel à m’inquiéter pour mes filles. A m’assurer qu’elles s’intègrent bien à l’école. Et qu’elles se fassent des amis, avant de commencer un travail plus ambitieux.