Le prince William et Kate Middleton ont récemment fait un voyage officiel au Pakistan. Pour s’y rendre, ils ont pris le Voyager de la Royal Air Force le jeudi 17 octobre 2019. Seulement, le vol ne s’est pas déroulé sous les meilleurs auspices.

Quand le duc de Cambridge blague sur ses talents de pilotage

Selon nos confrères de Closer, il y a eu de très fortes turbulences qui ont empêché l’appareil, qui devait relier Lahore à Islamabad, de se poser sur la base de la Pakistani Royal Air Force. Les vents étaient tels qu’après deux tentatives infructueuses, l’appareil a fait demi-tour et est retourné à Lahore.

Une fois en dehors de l’appareil, les passagers – qui comptaient des journalistes en dehors du couple royal – ont discuté de leur terrifiante expérience. Mais c’était sans compter sur le prince William qui a pris des nouvelles des autres passagers et a même trouvé le moyen de détendre l’atmosphère en blaguant sur cette expérience.

La journaliste Rebecca English, du Daily Mail, raconte par exemple que le prince William « a blagué en disant que c’était lui qui pilotait ! ». Nick Dixon, le correspondant royal de Good Morning Britain a, quant à lui entendu le prince dire que ces quelques turbulences ont surtout fait valser son verre de vodka tonic ! En tout cas, le moins qu’on puisse dire, c’est que le prince ne perd jamais son sens de l’humour.

Le prince William, sur les pas de Lady Di

Malgré ce petit imprévu de voyage, le couple royal a pu se rendre pour la première fois au Pakistan. Un séjour de cinq jours qui aura permis au duc et à la duchesse de Cambridge de visiter de nombreux établissements et de faire plusieurs activités comme : rendre visite à l’orphelinat SOS Village d’enfants, promener des chiens spécialement formés à la détection des mines, visiter la mosquée Badshahi à Lahore et aller au Shaukat Khanum Memorial Cancer Hospital and Research Centre.

Ce dernier lieu est un peu particulier pour le prince William car sa mère, Lady Diana, s’y est aussi rendue en 1996. Cette visite l’a sûrement rendu nostalgique.