Homme politique, ancien patron de l'Olympique de Marseille, patron du groupe de presse la Provence... On a parfois l'impression que Bernard Tapie a tout fait. Mais ce touche-à-tout se lasse des critiques.

Bernard Tapie face au monde

Quand il s'est essayé à la chanson, Bernard Tapie répétait "Réussir ta vie, moitié méchant, moitié gentil". Tout un symbole, pour celui qui est soit adulé soit haï.

Mais à 76 ans, il n'a pas lâché sa combativité. Un élément indispensable pour lutter contre son cancer de l’œsophage et de l'estomac. Mais aussi contre tous les jaloux qu'il a dénoncés sur le plateau de BFMTV.

Pour lui, c'est bien simple, il n'aurait pas été traité comme il le méritait par une partie des Français.

C'est le problème de ce putain de pays que j'aime, que j'ai jamais voulu quitter mais qui ne supporte pas, ni l'argent, ni la gloire, ni le succès des autres.

Pour lui, les critiques viennent de "tous ceux qui auraient voulu et qui ne peuvent pas" accéder à un certain niveau de vie. Il s'agirait d'une véritable "aigreur" qui sert de moteur à la haine "anti" Bernard Tapie.

Pas de quoi le décourager toutefois alors qu'il se tourne encore vers l'avenir.

Il faut entreprendre (…) Il faut avoir l’envie de le faire, la confiance de le faire.

Que pensez-vous de ses propos ?