Gabriela Jirackova est fascinée par la poupée Barbie depuis qu'elle est toute petite. Alors, à 18 ans, cette Tchèque a décidé de tout faire pour lui ressembler.

J’ai été inspirée par d’autres Barbies humaines et par mes poupées. J’en ai reçu beaucoup depuis que je suis enfant. J’ai toujours voulu me démarquer et j’ai pensé que c’était la meilleure façon de me satisfaire. Je me sens plus sexy maintenant. Je ne sais pas si je ressemble à Barbie, mais je me sens plus sexy.

A confié la jeune femme à Barcroft TV.

Et à ceux qui estiment qu'elle prend des risques en modifiant ainsi à l'extrême son corps, elle répond sur le site Sputnik :

Oui, je me transforme en poupée, je prends des risques avec mon corps, en un sens, d'autres font des rallyes autos et sautent de tremplins. On encourage ces gens, personne les juge, même s'ils risquent leurs vies beaucoup plus que moi.

Un budget de plus de 1 000 euros par mois pour devenir une Barbie humaine

Celle qui a déjà réalisé des implants mammaires (passant d'un bonnet C à un bonnet G) et possède des extensions de cheveux ne compte pas s'arrêter en si bon chemin.

J'envisage de faire une rhinoplastie, de changer radicalement mes dents et de faire encore quelques autres petites retouches sans chirurgie esthétique… Je suis encore en chemin vers mon rêve et ce chemin sera long.

Son look de Barbie lui coûte en moyenne plus de 1 000 euros par mois ! Mais il lui demande également environ 3h30 de préparation par jour. Sauf que pour le financement de son rêve, la jeune femme peut compter sur le soutien de ses parents.

La maman de Gabriela le revendique dans les colonnes du journal Métro :

C’est son choix et je le respecte. Je pense qu’elle est belle naturellement. Beaucoup de parents me reprochent de véhiculer un mauvais exemple. Je crois que je suis bien meilleure que certains parents qui autorisent leurs enfants à consommer des drogues ou à se retrouver dans des scandales. L’important est qu’elle soit heureuse et qu’elle accomplisse son rêve.

Le Ken humain a quant à lui décidé de stopper la chirurgie esthétique pour éviter la mort.