Il y a deux ans, l'artiste avait entamé des démarches pour faire du nom de sa fille de 7 ans, Blue Ivy, une marque déposée. Seulement, une organisatrice de mariage lui met des bâtons dans les roues. En effet, Veronica Morales est à la tête d'une société d'organisation de mariage qui porte le même nom depuis 2009, soit trois ans avant la naissance de la fillette.

Comme l'explique The Blast, Veronica Morales a exigé de Beyoncé qu'elle prouve à l'aide de documents privés qu'elle ait l'intention de se servir du nom de Blue Ivy à des fins commerciales. De plus, elle demande des extraits de conversation entre la star et son époux Jay-Z ou sa mère Tina Knowles qui révéleraient que les parents étaient déjà au courant de l'existence du nom Blue Ivy.

Les débuts d'une bataille judiciaire ?

Cette affaire n'est pas prête d'être rapidement réglée car Beyoncé refuse catégoriquement de se plier aux exigences de la wedding planner. Elle a même demandé une ordonnance juridique afin de réduire au silence Veronica Morales ou ses avocats concernant cette affaire.

Toujours selon le média américain, l'interprète de Crazy In Love affirme que l'organisatrice lui aurait proposé de lui céder la société pour 10 millions de dollars. Des déclarations réfutées par cette dernière qui n'a visiblement pas l'intention de se laisser faire.

Réputée pour contrôler son image à tous les niveaux, il se peut que Beyoncé fasse le nécessaire pour étouffer cette affaire et la régler à l'amiable.